Douche Froide

Artiste
Sophie Mabille
Douche Froide (2004) Tirage aux sels d’argent sur papier resin coated
  • Dimensions : 123 x 83 x 5 cm
  • Tirage : N°1/10
  • Encadrement : Oui
  • Garantie :
    Certificat d'authenticité délivré par l'artiste
Vendue et livrée par
Remi T.
Vendu
Infos complémentaires
Epoque Contemporaine (1945-aujourd'hui)

Je vends une Photo N&B Douche Froide Sophie Mabille série Stade 2004.

Achetée directement à l’artiste. Signée au dos, ed 1/10. Série Stade, 2004. Stade Léo Lagrange.

« Douche Froide » / Stade III 83x123cm, encadrée cornière en métal.

Étant donné le poids et l’encombrement, je suggère une remise en main propre à Paris. Livraison possible par transporteur. Prix galerie 2650€.

J’offre le catalogue de l’exposition Fragments de 2013 qui présente la photo.

Un mot sur l’œuvre SMAB004 Stade Léo Lagrange. sophie-mabille-stade-douchefroide : ‘‘ Douche Froide ’’, Stade, 2004 " STADE donne à voir les empreintes et les stigmates d’un vaisseau qu’on croirait délaissé. Il est question de mémoires portées par une écriture graphique à la fois sombre et lumineuse. Au fil des images presque abstraites, on se plait à imaginer avec émotion l’intensité de ce lieu toujours en vie… Le temps fait son oeuvre, toutes les histoires successives résonnent et de nouvelles s’y jouent encore. " Elise Atangana, productrice et commissaire d’expositions indépendante Le témoignage de Sophie Mabille Séduite par l'étrange impression de bien-être qui m'enveloppe lorsque je suis au stade, mon regard s'arrête sur des matières, des lieux , des détails qui réveillent en moi des sensations très fortes. Peu à peu, je prends conscience que je regarde les empreintes laissées par les sportifs jour après jour. C'est de cette mémoire que surgit l'émotion. C'est mon stade, mon enfance, nos souvenirs à tous.

Biographie artiste

Sophie Mabille a choisit l’image pour transcender la banalité du quotidien à travers les objets, les personnages, les paysages, les architectures qui le compose.

Le recours à des matières tel que la résine, le béton, la peinture sont le signe, pour l’artiste, d’une tentative d’échapper à la planeité de l’image, à sa fragilité. Une volonté de créer un rapport physique et tactile à l’œuvre.

Ce glissement ne perds pas pour autant le regard lucide de l’artiste qui de manière subtile nous propose toujours une seconde lecture en lien avec des problématiques actuelles tel que l’écologie, l’économie, l’identité, le genre…

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