NEW YORK BROOKLYN BRIDGE LIANES

Artiste
Chris Morin-Eitner
NEW YORK BROOKLYN BRIDGE LIANES (2011) Tirage photographique original, papier métallique Kodak contrecollé entre 2 altuglas
  • Dimensions : 100 x 150 x 3 cm
  • Tirage : Tirage n°6/7
  • Encadrement : Non
  • Garantie :
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Epoque Contemporaine (1945-aujourd'hui)

Artiste photographe engagé et reconnu, Chris Morin Eitner offre à voir un univers onirique, joyeux et unique. Ici les girafes sur le pont de Brooklyn que la nature a ré investi, laissant la ville à ses vestiges d'activités humaines. jeux de collages de logos sur les architectures urbaines, désertées des hommes, de lianes de fleurs de paradis désormais ornements du pont.

Biographie artiste

Né en 1968, Chris Morin-Eitner est photographe et réalisateur de courts-métrages. Il est diplômé d’architecture.

"Angkor, aujourd’hui envahie par les lianes, est sublime de poésie avec cette lointaine présence humaine que l’on peut ressentir encore... et demain Dubaï, Shanghai, New York, Rome, le grand Paris… Que deviendront ces espaces urbains, ces mégapoles, ces civilisations aujourd’hui au sommet, mais sans doute vouées à disparaître, comme les Mayas ou les Khmers ?"

C’est en visitant les ruines d’Angkor en 2007 que la démarche de Chris Morin a pris racine. De cette visite, il en retient l’effondrement de la capitale d’un empire, de son vaste complexe urbain, au profit d’un renouveau de la nature. Un renouveau où le bourgeonnement et la floraison des plantes envahissent librement l’espace, où les animaux seuls semblent y résider, où l’homme n’existe plus que par la présence de ses édifices en proie au déclin.

Diplômé d’architecture et intéressé par l’urbanisme, "surtout si celui-ci est laissé aux lianes et aux singes", Chris Morin érige ses univers colorés, fleuris et surréalistes en combinant photographies réelles de bâtiments icônes du monde entier et détourages graphiques de tags, d’animaux, d’arbres, et de végétaux. De l’architecture la plus imposante jusqu’à la plus petite touffe d’herbe, chaque élément de ses œuvres a été photographié au préalable par l’artiste durant ses voyages, constituant ainsi un répertoire dont les images se comptent par plusieurs dizaines de milliers. 

Son travail reflète l’idée de la vanité humaine, celle d’ériger des bâtiments aux dimensions monumentales, preuves tangibles d’une domination de l’homme sur la nature. Cette vanité, Chris Morin la renverse en redonnant les pleins pouvoirs à la nature.

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